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Aussi confidentiel que le nombre de zéros qui accompagne les transactions, l'immobilier de «prestige» anime un marché discret. Dans le pays de Lorient, le bord de mer fait flamber les prix. Souvent dans le plus grand secret.

L'immobilier de prestige, c'est en général un chèque avec beaucoup de zéros. Pour le reste, tout dépend où on situe le marché. Le cours de la pierre n'a pas la même valeur à Paris, en Provence et en Bretagne. Dans le pays de Lorient, le haut de gamme, ce peut être une petite maison sur le bord de mer, un manoir en rase campagne ou une grande bâtisse en plein coeur de ville. Mais rien de comparable avec les sommes englouties dans un appartement niché dans un arrondissement branché de la capitale. Ni avec les 13MEUR récemment déboursés par François Pinault pour une villa à Dinard (35). «Dans le pays de Lorient, vous n'aurez jamais de transaction à plus de 10MEUR», affirme Ronan Pradeau, de l'agence France Château Vue Mer (Quimper et Lorient) qui ne court d'ailleurs pas après la publicité. «Une bonne vente p
our nous? Personne ne doit savoir que la propriété est à vendre, ni qu'elle a été achetée
». Les agents immobiliers font de la discrétion, une règle d'or. 

 

 

«Un marché de niche»

 

 

Mais à Lorient comme ailleurs, ce marché constitue une niche. Elle n'est pas si dorée si on se réfère au niveau des transactions. Au vu des prix annoncés, les biens dépassant les 500.000EUR peuvent déjà prétendre à l'appellation «haut de gamme». Un point sur lequel s'accordent volontiers les professionnels. Selon Me Le Beller (étude de Lanester), les ventes de ce niveau représentent moins de 1% des transactions en 2011 à Lorient, y compris sur la bande côtière, pourtant très convoitée (Larmor-Plage, Ploemeur, Guidel) qui plafonne entre 1,5 et 2%.

 

«L'emplacement fait le prix»

 

Le plus gros des transactions se situe entre 500.000 EUR et 1MEUR, entre «le haut du marché classique et le bas de la demeure d'exception», résume Simon Spence, fin connaisseur de ce segment au sein de l'agence Le Bec. Aujourd'hui, une transaction pour une demeure du XVIIIe siècle en centre-ville de Lorient à 700.000 EUR est une «bonne opération», considère Morgane Gerbaud, de Dubé Immobilier, spécialisée dans ce type de transactions depuis vingt ans. L'emplacement est d'ailleurs capital. «Ici, le prestige, c'est la maison bord de mer», insiste Loïc Boilevin du réseau Pierre & Mer. «Il n'y a rien de surprenant à acheter 70m² les pieds dans l'eau au prix d'un manoir en Centre Bretagne», illustre le professionnel. Et sans surprise, le charme larmorien continue de faire tourner les têtes. Et les euros.

 

«Un avion pour les clients»

 

Quant aux biens, l'engouement pour la maison de caractère s'essouffle. «C'est comme une voiture de collection, il faut penser à la consommationet à l'entretien», résume Simon Spence qui a pourtant à son actif la vente d'un manoir à Caudan, il y a trois ans, à un banquier de la City pour 700.000 EUR. Une transaction qui réclame, en général, patience et diplomatie. «On ne vend pas une jolie propriété dans un claquement de doigts», insiste l'agent de France Château qui met à la disposition de ses clients avion et bateau pour la visite des biens convoités. Une visite qui n'est souvent que le début d'un marathon face «à des acquéreurs très bien informés des prix du marché et qui font de la négociation un art consommé», observe Morgane Gerbaud. Quant au marché, redynamisé par la réforme de la plus-value immobilière fin 2011, il n'échappe pas à «un ralentissement». La crise fait peur à tout le monde. La relance de l'activité ne viendra pas des clients étrangers fortunés. «Les acquéreurs sont en grande partie des locaux ou l'ont été. Tous ont un lien affectif avec le pays de Lorient». Ce qui était le cas pour les dernières transactions d'importance: 3,6MEUR pour une propriété à Larmor-Plage et 1,2MEUR à Guidel. Toutes les deux avec vue imprenable sur la mer.

 

Source : Le Télégramme (http://www.letelegramme.com/local/morbihan/lorient/ville/immobilier-le-prestige-a-tous-prix-24-02-2012-1611535.php) 24 Février 2012

SNSMLe partenariat entre la SNSM et Pierres et Mer
nous est apparu comme une évidence.

Les sauveteurs en mer assurent quatre activités opérationnelles : le sauvetage en mer, la surveillance de nos plages, les missions de sécurité civile et la prévention du grand public à la sécurité.

Notre présence sur l’ensemble du littoral breton nous sensibilise au problème récurrent du financement de l’association Les Sauveteurs en Mer bénévoles ont besoin de nous pour :

  • Se former : par exemple, devenir nageur sauveteur nécessite près de 300 heures de formation.
  • Disposer du meilleur matériel pour intervenir en toute sécurité : gilets de sauvetage, tenues de mer, lignes de vie, casques, etc.
  • Entretenir et renouveler leur flotte : pour se rendre au plus vite sur les lieux d'accidents et sauver des vies.

La SNSM n'est pas un service de l'État, mais une association dont le financement repose sur la générosité de donateurs privés.


Dans le cadre de ce partenariat Pierres et Mer s’est tout naturellement engagé à lui reverser une partie de ses honoraires.

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