Trouver votre bien sur le bord de mer en Bretagne
NouveautéEstimation en ligne
Nous recrutons
< Retour
logo-notaire

Depuis Juillet 2012, le conseil général des notaires de Bretagne a sorti les chiffres du premier semestre 2012 à propos du marché des résidences secondaires sur le littoral breton.

 

Secteur par secteur, les notaires ont réalisé un bilan sur la sitation actuelle au niveau de la vente de maisons, d’appartements et de terrains sur le bord de mer.

 

 

La résidence secondaire : un gros marché en Bretagne

Avec ses 2 800 km de littoral, notre région est un gros marché au niveau de l’immobilier sur le bord de mer. La Bretagne est même la 5e région de France la plus attractive pour les résidences secondaires. En moyenne le littoral breton est l’un des marchés où l’on compte le plus de maisons secondaires. Certaines communes de Bretagne sont même devenues des villes qui disposent majoritairement des résidences secondaires comme Carnac (56) ou l’Île-Tudy : « ces communes sont constituées à 77 % de résidences secondaires… ».

 

 

 

Qui achète sur le bord de mer en Bretagne ?

Qui sont ces acheteurs, des retraités aisés revenus d’Île-de-France ? « Pas du tout, c’est une idée reçue ! Les acheteurs parisiens ne sont que 16 % », réfute Rozenn Le Beller. Le marché breton de la résidence secondaire est essentiellement un marché régional : « 61 % des acheteurs sont Bretons. » Le reste se partage entre 21 % d’acquéreurs venus de toute la France et 7 % d’étrangers seulement. En revanche, pour la moyenne d’âge, elle est effectivement plutôt élevée : « 26 % de 50-60 ans et 24 % de 60-70 ans. » Confirmation que pour s’acheter la maison de ses rêves au bord de l’eau, « il faut de solides moyens… », que n’ont pas les plus jeunes.

 

Un secteur de l’immobilier en baisse : -15%

Depuis la crise de 2008, la situation est devenue compliquée sur le littoral. Contrairement aux autres secteurs de l’immobilier où les prix ont repris de la vigueur, les prix sont restés assez stables pour les maisons. Pour les appartements et les terrains, ils enregistrent toujours un petit - 4 ou - 5 %. Quant au nombre total de transactions, il a reculé de 15 % en trois ans. En fait, ce marché « peine à redécoller ». Dans un contexte de crise, la résidence secondaire porte bien son nom : « Elle est devenue une priorité… assez secondaire ! ».

 

La résidence secondaire : un investissement

Beaucoup de propriétaires ont alors décidé de précipiter la vente de leur bien, « quitte à baisser les prix. » suite à la nouvelle réglementation sur les plus values. Mais cet effet n’a eu qu’un temps, depuis le marché stagne. « Et c’est sans doute le bon moment pour investir. » Pas dans les terrains constructibles, devenus rares du fait de la loi Littoral, mais aussi des nouvelles cartes de prévention des risques de submersion (dressées après la tempête Xynthia). Mais plutôt dans les maisons et les appartements. D’ailleurs, les notaires commencent à constater « un retour d’investisseurs inquiets ». Face aux incertitudes de la crise, « la pierre semble toujours un bon refuge ».

Pour ceux qui ont les moyens d’investir dans des biens d’exceptions sur le bord de mer, ils sont en attente, car la situation actuelle est encore pleine d’incertitude concernant les prochaines mesures de l’Etat  propos de la fiscalité.

SNSMLe partenariat entre la SNSM et Pierres et Mer
nous est apparu comme une évidence.

Les sauveteurs en mer assurent quatre activités opérationnelles : le sauvetage en mer, la surveillance de nos plages, les missions de sécurité civile et la prévention du grand public à la sécurité.

Notre présence sur l’ensemble du littoral breton nous sensibilise au problème récurrent du financement de l’association Les Sauveteurs en Mer bénévoles ont besoin de nous pour :

  • Se former : par exemple, devenir nageur sauveteur nécessite près de 300 heures de formation.
  • Disposer du meilleur matériel pour intervenir en toute sécurité : gilets de sauvetage, tenues de mer, lignes de vie, casques, etc.
  • Entretenir et renouveler leur flotte : pour se rendre au plus vite sur les lieux d'accidents et sauver des vies.

La SNSM n'est pas un service de l'État, mais une association dont le financement repose sur la générosité de donateurs privés.


Dans le cadre de ce partenariat Pierres et Mer s’est tout naturellement engagé à lui reverser une partie de ses honoraires.

Remonter